| Type de reportage |
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| Titre du reportage | Comment les luthiers s'assurent de la gestion durable des forêts ? (Prix forêt et bois) |
| Nombre de jeunes/étudiants directement impliqués dans la réalisation du reportage | 1 |
| Parmi les thèmes suivants, dans lesquels votre reportage s’inscrit-il ? |
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| Avez-vous pris contact avec des personnes extérieures à votre établissement dans le cadre du reportage ? | Oui |
| Décrivez la méthodologie employée (prise de contact, nombre d’interviews réalisées, éventuelles difficultés, etc.) | Pour effectuer ce reportage, je me suis d’abord rendu rue de Rome à Paris, la rue où sont la plupart des luthiers. J’ai toqué à beaucoup de portes, me suis pris pas mal de refus (les luthiers sont toujours très occupés), mais cela m’a permis de voir une première différence entre les luthiers qui réparent les instruments et ceux qui les font (plus rares, mais plus dans son sujet). Un premier luthier dans la réparation), Pierre Jaffré m’a parlé de Charles Coquet, luthier rue Belliard. Je me suis rendu chez lui, et ai pu convenir d’un rendez vous la semaine suivante. Charles Coquet m’a ensuite parlé de Bernard Michaud, chez qui il s’approvisionne. Il me semblait indispensable d’aller voir un forestier – bucheron dans le cadre de cette bourse, je me suis donc rendu à Fertans (Doubs), sur une journée pour le rencontrer et visite sa petite scierie. Entretemps j’ai également cherché le dernier maillon de la chaîne des musiciens. Je suis passé par l’association Talent et Violoncelle, qui prête à de jeunes musiciens des instruments de luthiers qu’ils n’auraient pu se procurer autrement (par soucis financier notamment). Plusieurs m’ont répondu, et je suis allé voir Imane Mehroug dans son conservatoire, puis Iris Guémy chez elle. Ma principale difficulté a été de trouver le bon angle. J’étais initialement parti sur un sujet « découverte », ou on remonte l’instrument, de la musique à la forêt. Mais j’ai ensuite ré-angler mon reportage, pour accentuer comment les nouveaux enjeux de protection de la forêt influe sur le travail des luthiers. Il m’a fallu trouver de nouveaux interlocuteurs : Charles Coquet était indisponible (je n’ai pu le joindre que par téléphone, mais le son rend évidemment moins bien et j’ai laissé cette partie de côté), et je partais de Paris. J’ai d’abord retenté ma chance rue de Rome, où après plusieurs échecs, je suis tombé sur Bernard Sabatier, puis à Lille, Laurence Hamelin. |
| Avez-vous fait appel à des tiers pour la réalisation du reportage (notamment pour le montage vidéo ou radio) ? | Non |
| Avez-vous eu besoin de matériel particulier ? (caméra, micro…) | Oui |
| D’où provenait le matériel (matériel personnel, prêt de l’établissement, etc.) ? | Zoom h4n personnel acheté auparavant pour mon loisir |
| Par quels canaux avez-vous diffusé votre reportage ? |
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| Estimez le nombre de personnes touchées par cette diffusion | 60 |
| Lien hypertexte vers votre reportage | soundcloud.com |
| Date de l'entrée | 16 mars 2019 |
| Utilisateur | Florian Soenen |
| Autres entrées |
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